Le combat de sumos : un sport traditionnel au Japon

À présent, la culture japonaise commence à attirer l’attention du monde entier. Outre les animations, le Japon possède d’autres pratiques intéressantes comme le sumo. En effet, ce dernier est plus qu’un simple art martial, il s’avère également être une pratique traditionnelle, itou.

Histoire du Sumo

Ayant existé depuis 1500 ans, le sumo fait partie des premiers arts martiaux après le Kung-Fu. En principe, le sumo est une ancienne dance religieuse destinée à rendre grâce à la Déesse de la création dans la religion Shinto. Les rikishis, lutteurs de cette discipline, sont tenus de se pousser jusqu’à faire tomber son adversaire. Lors de la période de la modernisation au Japon, le sumo a été officiellement institué comme sport national dans ce pays d’Asie. Toutefois, ce sport réside au cœur d’une grande discussion étant donné que le sumo reste prohibé pour la gent féminine. Pour en connaître davantage concernant les us et coutumes japonaises, il serait mieux de faire appel à Marco Vasco, le spécialiste du voyage au Japon. Organisez vos vacances et partez au monde japonais !

Le sumo : un des premiers sports japonais

En 2015, le sumo est pratiqué par plus de 700 personnes à travers le monde. Cependant, les lutteurs non-japonais ne représentent que 6 % de la totalité. Comptant plus de 6 arts martiaux, le sumo compte parmi les sports les plus populaires au Japon étant donné qu’un tournoi de sumo est organisé tous les 2 mois par la NSK. Afin de pouvoir participer, le lutteur doit remplir certains critères comme le poids et la taille. Pour peser plus de 100 kg, les lutteurs étaient alors soumis à un régime ultra-protéiné avec énormément de viande rouge, viande blanche et du tofu afin de gagner en masse musculaire. Outre le gabarit, les lutteurs devaient uniquement être des hommes. Les femmes étaient destinées à être des spectatrices.

Les critères à respecter pour devenir un rikishi

Etant donné que la prise de poids ne se fait pas rapidement, les rikishis doivent suivre certaines consignes comme la recette exacte de leur soupe magique appelée Chanko-Nabe. Par ailleurs, il est d’ordre capital que le rikishi mange plus de 8 fois par jour pour avoir un apport de 8 000 calories par jour. Inopportunément, la masse musculaire n’est pas suffisante, le rikishi a besoin d’énormément de graisse, itou. Pour ce faire, les lutteurs ont besoin de faire une sieste de 4 heures après chaque repas. Une technique qui aide à ralentir la digestion pour pousser le corps à développer des tissus adipeux. Malgré ces pauses, le rikishi est obligé d’avoir une vie disciplinée avec les réveils matinaux.

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